- EAN13
- 9782843047640
- ISBN
- 978-2-84304-764-0
- Éditeur
- Zulma
- Date de publication
- 07/01/2016
- Collection
- Littérature française
- Nombre de pages
- 144
- Dimensions
- 19,5 x 12,7 x 1,3 cm
- Poids
- 170 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- islandais
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Vendu par Librairie Develay par PGdis17.50
Phénix excentrique tant de fois ressurgi de ses cendres, Siggý n’est plus. Elle qui n’a jamais été là pour personne a légué à sa fille Hildur son mal étrange et une petite maison jaune sur l’île de Flatey.
Une lettre de sa mère pour seul viatique, Hildur s’embarque vers ce point minuscule perdu dans l’océan. Avec pour ange tutélaire l’homme aux yeux vairons. Et une foule de souvenirs sans pareils – les extravagances de Siggý et de son voisin Kafka, les mantras de grand-mère Láretta contre les idées noires, l’appel des phoques sacrés ou les fantômes de la rue Klapparstígur... Qui tous portent la promesse d'une singulière renaissance.
Comme une consolation venue d’ailleurs, J’ai toujours ton cœur avec moi est la belle chronique de ces quelques jours sans boussole – mélancolique, insolite et décalée.
Une lettre de sa mère pour seul viatique, Hildur s’embarque vers ce point minuscule perdu dans l’océan. Avec pour ange tutélaire l’homme aux yeux vairons. Et une foule de souvenirs sans pareils – les extravagances de Siggý et de son voisin Kafka, les mantras de grand-mère Láretta contre les idées noires, l’appel des phoques sacrés ou les fantômes de la rue Klapparstígur... Qui tous portent la promesse d'une singulière renaissance.
Comme une consolation venue d’ailleurs, J’ai toujours ton cœur avec moi est la belle chronique de ces quelques jours sans boussole – mélancolique, insolite et décalée.
Commentaires des libraires
Hildur revient en Islande pour enterrer sa mère, la fantasque Siggy. Elle lui a légué sa maison sur l’île de Flatey, pendant quelques jours Hildur se souvient de sa mère, de ses excentricités et aussi de la distance installée entre ...
Lire la suiteCommentaires des lecteurs
''Hildur, je suis encore morte''. Tels auraient pu être les derniers mots de Siggý à sa fille dans la lettre qu'elle vient de recevoir. Car Siggý, mère et femme fantasque, aimait mourir...d'ennui, de chagrin, d'autre chose. Pour mieux renaître...dans les ...
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