- EAN13
- 9782360538812
- ISBN
- 978-2-36053-881-2
- Éditeur
- SAS
- Date de publication
- 21/04/2022
- Collection
- GDV SAS FONDS
- Nombre de pages
- 244
- Dimensions
- 17,9 x 11,1 x 2,1 cm
- Poids
- 166 g
- Langue
- français
Ce livre est en stock chez un confrère du réseau leslibraires.fr,
Cliquez ici pour le commander
Le lieutenant Francisco Carraz s'approcha de Malko, jouant avec son poignard à large lame. –; Oiga, Caballero, dit-il. Tu as le choix. Ou tu me dis où se trouve Manuel Guzman. Ou je te castre. Pour moi, ce sera un plaisir. Tu as une minute.
Une fois de plus, il se retrouvait en face de " l'Irlandais ", Ronald Fitzpartick, chef de la Division des Opérations de la CIA. - Tous des pourris ! Plusieurs photos pas ragoûtantes s'étalaient sur son bureau. Deux morts passablement abîmés. Malko y avait à peine jeté un coup d'œil. Depuis son séjour au Salvador, il n'avait aucune illusion sur la sauvagerie des Latino-Américains... Afin de calmer l'homme de la CIA ? il remarqua : - Ce n'étaient pas des gens de votre Division. L'Irlandais lui fit face brusquement, une lueur sombre dans ses yeux bleus. - Raison de plus ! La direction du Renseignement m'accuse de les avoir envoyés au massacre à la place des miens. Or, moi j'avais des ordres du directeur général pour mener une action d'infiltration à partir de la station de Lima. Je n'ai personne là-bas. Dès qu'ils nous voient pointez notre nez, les Péruviens deviennent paranoïaques. Toujours la haine des " gringos ".
Une fois de plus, il se retrouvait en face de " l'Irlandais ", Ronald Fitzpartick, chef de la Division des Opérations de la CIA. - Tous des pourris ! Plusieurs photos pas ragoûtantes s'étalaient sur son bureau. Deux morts passablement abîmés. Malko y avait à peine jeté un coup d'œil. Depuis son séjour au Salvador, il n'avait aucune illusion sur la sauvagerie des Latino-Américains... Afin de calmer l'homme de la CIA ? il remarqua : - Ce n'étaient pas des gens de votre Division. L'Irlandais lui fit face brusquement, une lueur sombre dans ses yeux bleus. - Raison de plus ! La direction du Renseignement m'accuse de les avoir envoyés au massacre à la place des miens. Or, moi j'avais des ordres du directeur général pour mener une action d'infiltration à partir de la station de Lima. Je n'ai personne là-bas. Dès qu'ils nous voient pointez notre nez, les Péruviens deviennent paranoïaques. Toujours la haine des " gringos ".
S'identifier pour envoyer des commentaires.