Prescripteurs de saines addictions

Victor Hugo et l’ère nouvelle, Essai
EAN13
9782378777845
Éditeur
Le Lys Bleu Éditions
Date de publication
Langue
français

Victor Hugo et l’ère nouvelle

Essai

Le Lys Bleu Éditions

Indisponible

Autre version disponible

Partez à la découverte du lien étonnant entre Victor Hugo et une révélation
divine à Téhéran en 1817 !

Les idées humanistes et avant-gardistes de Victor Hugo sont plus brûlantes
d’actualité que jamais. Soulevant ricanements et railleries, le sublime poète
entrevoyait néanmoins l’établissement du « Royaume de Dieu sur terre » déjà à
son époque. Et pour que cela se réalise, il implorait les cieux afin qu’une «
voix plus qu’humaine nous parle ».
Quelle n’aurait pas été sa stupéfaction d’apprendre que cette « voix » aurait
parlé et de son vivant, qui plus est ! En Perse, à travers la révélation
bahá'íe où un fils de vizir, né à Téhéran en 1817, se proclama être le Promis
de toutes les religions du passé et le promoteur de ce Royaume, sous le titre
de Bahá'u'lláh (la Gloire de Dieu).
C’est ce que les contemporains de Hugo appelèrent la révolution babíe,
révolution que les Français furent incidemment les premiers à faire connaître
au monde.
Entre cette révélation divine et l’œuvre de Hugo, on a parfois l’impression de
tomber sur du « copier-coller » ! Même combat indéniablement !
Alors, Victor Hugo, brillant porte-parole en notre langue d’un message qui le
« surpasse » ?
En tout cas, les écrits bahá'ís, dont certaines parties sont traduites
aujourd’hui en quelque huit cents langues, sembleraient être une clé
indispensable pour comprendre clairement non seulement le côté mystique de son
œuvre et sa formidable vision du futur mais aussi les affres de notre monde
contemporain.
De quoi répondre à notre questionnement angoissé du jour !

Un essai clé pour comprendre le côté mystique de l’œuvre de cet écrivain
emblématique ainsi que sa vision du futur.

EXTRAIT

J’étais resté moi-même sur de vagues souvenirs scolaires et des on-dit
concernant l’immense poète, comme beaucoup de mes compatriotes d'ailleurs,
jusqu’à ce beau jour où l’un de mes coreligionnaires bahá’ís attira mon
attention sur quelques vers que Hugo avait rédigés sur la petite île anglo-
normande de Sercq en juillet 1853, vers où il faisait parler l’apôtre Jean :
J’ai dit à Dieu : Seigneur, jugez où nous en sommes.Considérez la terre et
regardez les hommes.Ils brisent tous les nœuds qui devaient les unir.Et Dieu
m’a répondu : Certes, je vais venir5 ! Dieu va venir ! Ça alors ! Même si
cette affirmation n'a semblé bizarrement susciter aucun intérêt particulier
nulle part, elle n'en reste pas moins FA-RA-MI-NEU-SE. Mais, que cela ait été
écrit en 1853 par-dessus le marché me paraît encore plus faramineux ! Et
pourquoi ?Parce que c’est justement cette année-là, en 1853, que Bahá’u’lláh,
le fondateur de la religion bahá’íe à laquelle j’appartenais depuis une bonne
vingtaine d’années à l'époque, vint à Bagdad, dans la ville où il se
proclamera être « Celui que Dieu doit manifester » pour l’ère nouvelle !
Sapristi, quelle prémonition de la part de Hugo !

À PROPOS DE L'AUTEUR

André Brugiroux \- Né avant la guerre, l'auteur de La Terre n'est qu'un seul
pays, a voulu savoir en rencontrant les hommes du monde entier si la paix
était possible. En 1969, en Alaska, la découverte des écrits bahá'is lui donna
une brillante réponse à son interrogation. A sa grande stupéfaction, il a
décelé par la suite les mêmes propos chez Victor Hugo. Ce qui fait l'objet de
cet essai.
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