- EAN13
- 9782226236777
- Éditeur
- Albin Michel
- Date de publication
- 02/01/2013
- Collection
- Romans Français
- Langue
- français
Autre version disponible
-
Papier - Albin Michel 14,00
« Des noms, des musiques, des visages et des voix... des odeurs, des couleurs,
des mots, des modes... le grincement d'une porte de jardin.
Autant de points de repères à la nostalgie en général et à la mienne en
particulier.
J'ai écrit ces lignes pour éprouver ma mémoire et mon coeur, pour retenir un
peu du temps qui m'emporte. À tout hasard, comme le Petit Poucet, j'ai semé
sur mon chemin des cailloux blancs. Qui m'aime me suive !
Ceux qui ont eu vingt ans à la même heure que moi se retrouveront facilement ;
que les autres, ceux d'avant et ceux d'après, me croient sur parole : le
bonheur c'est seulement quand on se souvient du bonheur. »
Reprenant la formule de Georges Pérec, qui la tenait lui-même de l'Anglais Joe
Brainard, Pascal Sevran se livre au jeu du « Je me souviens », qui ressuscite
des brins de temps perdu mélancoliques ou amusés, et complète le portrait
intime de l'auteur du Passé complémentaire (Prix Roger-Nimier 1979) et de Tous
les bonheurs sont provisoires (Albin Michel, 1995).
des mots, des modes... le grincement d'une porte de jardin.
Autant de points de repères à la nostalgie en général et à la mienne en
particulier.
J'ai écrit ces lignes pour éprouver ma mémoire et mon coeur, pour retenir un
peu du temps qui m'emporte. À tout hasard, comme le Petit Poucet, j'ai semé
sur mon chemin des cailloux blancs. Qui m'aime me suive !
Ceux qui ont eu vingt ans à la même heure que moi se retrouveront facilement ;
que les autres, ceux d'avant et ceux d'après, me croient sur parole : le
bonheur c'est seulement quand on se souvient du bonheur. »
Reprenant la formule de Georges Pérec, qui la tenait lui-même de l'Anglais Joe
Brainard, Pascal Sevran se livre au jeu du « Je me souviens », qui ressuscite
des brins de temps perdu mélancoliques ou amusés, et complète le portrait
intime de l'auteur du Passé complémentaire (Prix Roger-Nimier 1979) et de Tous
les bonheurs sont provisoires (Albin Michel, 1995).
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