- EAN13
- 9782221198162
- Éditeur
- Robert Laffont
- Date de publication
- 17/08/2017
- Langue
- français
Autre version disponible
-
Papier - Robert Laffont 19,90
" Et enfin, à cinquante-trois ans, j'ai entrepris d'apparaître. "
Et si tout ce qu'on racontait sur les cheveux blancs était faux ? Et si ces
monceaux de teinture, sur des millions de chevelures, aux quatre coins de la
planète, cachaient en fait une beauté supplémentaire que les femmes pourraient
prendre avec le temps, beauté immense qui les sauverait de bien des angoisses,
de bien de servitudes ?
C'est en partant de cette intuition que Sophie Fontanel, un soir d'été, décide
d'arrêter les colorations et de regarder pousser ses cheveux blancs. Comme
elle est écrivain, elle en fait un livre, sorte de journal romancé de ce
qu'elle n'hésite pas à appeler une " naissance ".
Les semaines, les mois passent : un panache lui vient sur la tête, à mille
lieues des idées préconçues sur les ravages du temps. Elle réalise que l'âge
embellit aussi les femmes et que les hommes n'ont pas pour les cheveux blancs
l'aversion qu'on supposait. Elle découvre que notre société n'attendait qu'un
signal, au fond, pour s'ouvrir à une splendeur inédite, d'une puissance
extraordinaire.
Ce roman est une fête. Celle de la liberté.
Et si tout ce qu'on racontait sur les cheveux blancs était faux ? Et si ces
monceaux de teinture, sur des millions de chevelures, aux quatre coins de la
planète, cachaient en fait une beauté supplémentaire que les femmes pourraient
prendre avec le temps, beauté immense qui les sauverait de bien des angoisses,
de bien de servitudes ?
C'est en partant de cette intuition que Sophie Fontanel, un soir d'été, décide
d'arrêter les colorations et de regarder pousser ses cheveux blancs. Comme
elle est écrivain, elle en fait un livre, sorte de journal romancé de ce
qu'elle n'hésite pas à appeler une " naissance ".
Les semaines, les mois passent : un panache lui vient sur la tête, à mille
lieues des idées préconçues sur les ravages du temps. Elle réalise que l'âge
embellit aussi les femmes et que les hommes n'ont pas pour les cheveux blancs
l'aversion qu'on supposait. Elle découvre que notre société n'attendait qu'un
signal, au fond, pour s'ouvrir à une splendeur inédite, d'une puissance
extraordinaire.
Ce roman est une fête. Celle de la liberté.
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