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Conseillé par Emmanuelle S. (Librairie Dialogues)11 octobre 2019
"Nos poils sont désordres !"
De jeunes lycéennes voient du jour au lendemain leur pilosité s'accroître, au point de devenir un pelage. Leurs sens sont exacerbés. Leur hypersensibilité décuplée.
Face à l'inconnu de cette transformation, la société réagit par la violence et la haine.
Certains y voient le signe d'une dépravation, d'une punition. D'autres celui d'une évolution et la promesse d'un avenir plus harmonieux avec la nature et nos propres corps.
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Conseillé par Librairie Ravy (Librairie Ravy)9 septembre 2019
Lisez ce livre, vous ne serez pas déçu !
Une mutation transforme petit à petite toutes les adolescentes. Leur corps se recouvre d’un pelage soyeux, comme ceux des chats, leurs sens s’améliorent, leurs émotions sont exacerbées. Et elles deviennent des parias de la société, considérés comme non humaines. Louise, elle, décide de sortir du silence et de prouver que si, les Félines souffrent, les Félines meurent, les Félines aiment. Qu’elles sont tout simplement humaines malgré le pelage qui les recouvre.
Ce roman, c’est un véritable miroir de notre société ! A travers l’histoire des Félines, Stéphane Servant nous parle d’un nombre de sujets incroyable : le sexisme, le racisme, la peur de ce qu’on ne connait pas, la violence, mais aussi l’amour, l’amitié, le courage, la persévérance.
Un livre inoubliable à découvrir dès 15 ans.
Marine
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Conseillé par Géraldine G. (Vents de Terre)14 avril 2022
Une lecture pour les ados à la fois fantastique, divertissante et pleine de suspense !
Après avoir évoqué la cause écologique dans « Sirius »💚. Stéphane Servant s’engage sur un terrain plus politique et féministe avec « Félines »!
C’est l’histoire de Louise 17ans, victime d’une mutation génétique inexpliquée comme des dizaines d’autres filles dans le monde …
Et, un message plus profond : la peur de l’autre et de ses différences pouvant mener à l’extrémisme et à l’intolérance. -
Conseillé par Angèle R.3 avril 2020
Epoustouflant !!!!!!
Ce livre est merveilleux, une fois que je l'avais commencé je n'ai pas pu le lâcher:j'ai passé la moitie de la nuit à lire.