Liturgie et Contemplation
De Jacques Maritain, Raïssa Maritain, Père Jean-Miguel Garrigues
Ad Solem
Sophia
Préface de Charles Journet
La liturgie est le culte public de l'Église, le culte public rendu à Dieu par le Corps mystique du Christ. Mais ce culte public est aussi, et doit être principalement intérieur. Car il y a une connexion intime entre liturgie et contemplation.
La liturgie elle-même demande que l'âme tende à la contemplation; et la participation à la vie liturgique, si elle est comprise et pratiquée dans son véritable esprit, est une préparation éminente à l'union à Dieu par contemplation d'amour.
En réponse au « pseudoliturgisme » qui commençait à envahir les églises, Jacques et Raïssa Maritain montrent que «c'est avant tout par un acte caché au plus profond d'eux-mêmes, invisible aux hommes et non entendu d'eux, que les fidèles offrent avec le célébrant le sacrifice et s'offrent eux-mêmes avec lui. »
« Si Jacques et Raïssa plaident pour une liturgie plus noble et plus contemplative, écrit Jean-Miguel Garrigues dans son avant-propos, ce n'est pas en raison d'un quelconque élitisme ou d'un passéisme, mais au nom d'une exigence d'intériorité théologale et de cette discrète et sobre disponibilité charismatique à l'Esprit que connaissait en particulier leur soeur Véra. Or, la tâche de promouvoir une liturgie exercée avec intériorité est toujours la nôtre dans l'Église d'aujourd'hui.
Puisse la lecture de cet ouvrage nous y aider.»
La liturgie est le culte public de l'Église, le culte public rendu à Dieu par le Corps mystique du Christ. Mais ce culte public est aussi, et doit être principalement intérieur. Car il y a une connexion intime entre liturgie et contemplation.
La liturgie elle-même demande que l'âme tende à la contemplation; et la participation à la vie liturgique, si elle est comprise et pratiquée dans son véritable esprit, est une préparation éminente à l'union à Dieu par contemplation d'amour.
En réponse au « pseudoliturgisme » qui commençait à envahir les églises, Jacques et Raïssa Maritain montrent que «c'est avant tout par un acte caché au plus profond d'eux-mêmes, invisible aux hommes et non entendu d'eux, que les fidèles offrent avec le célébrant le sacrifice et s'offrent eux-mêmes avec lui. »
« Si Jacques et Raïssa plaident pour une liturgie plus noble et plus contemplative, écrit Jean-Miguel Garrigues dans son avant-propos, ce n'est pas en raison d'un quelconque élitisme ou d'un passéisme, mais au nom d'une exigence d'intériorité théologale et de cette discrète et sobre disponibilité charismatique à l'Esprit que connaissait en particulier leur soeur Véra. Or, la tâche de promouvoir une liturgie exercée avec intériorité est toujours la nôtre dans l'Église d'aujourd'hui.
Puisse la lecture de cet ouvrage nous y aider.»
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