Prescripteurs de saines addictions

La petite vermillon, La plus punk des éditions bien élevées !

L'autobiographie

Table Ronde

10,20

Miles Davis, musicien de légende issu de la bourgeoisie noire de Saint Louis (Illinois), raconte son parcours de plus de quarante ans, des clubs de Harlem et de la 52ᵉ Rue - où il croise la route de Charlie Parker, Dizzy Gillespie, Thelonious Monk, Bud Powell, Gil Evans -, aux années électriques et à la fusion entre jazz, rock, pop et musique antillaise. C’est en toute franchise qu’il se confie sur les épreuves qui ont jalonné sa vie. Les amitiés, les femmes, et surtout sa passion pour la musique ont été autant de moyens de survivre à l’alcool, la drogue, la maladie et la haine raciste à laquelle il a été si souvent confronté. Quincy Troupe, né en 1939 à Saint Louis, est écrivain, éditeur, journaliste et professeur émérite de l’Université de San Diego en Californie. Il a remporté l’American Book Award pour cet
ouvrage co-écrit avec Miles Davis. Compositeur et trompettiste de génie, Miles Davis (1926-1991) n’a eu de cesse de se renouveler. Son nom est associé à toutes les grandes évolutions du jazz moderne.
Miles : l’autobiographie, publié aux États-Unis en 1989, est un livre essentiel de l’histoire du jazz, qui relate la vie et la carrière de plus de quarante ans de Miles Davis, ce fils de la bourgeoisie noire de St. Louis.


8,90

«J'éprouve la nécessité de repartir en Amérique du Sud, afin de renouer avec les planches», notait John Hopkins dans son journal en 1971. Ce retour sur «scène», il l'accomplira dès l'année suivante, et tout au long de 1973, avec Madeleine van Breugel, en descendant du Mexique vers le sud du continent. Exilé volontaire, voyageur, nomade, Hopkins ne s'en montre que plus écrivain, faisant œuvre de tout ce qui advient au cours du périple. Qu'il s'agisse des êtres, des lieux, des événements de hasard et de rencontre, ou de la lancinante imperfection de son amour pour sa compagne, c'est son regard unique, doux et mordant, qui fait la puissance de ces carnets, habités d'une irrésistible poésie.
«J'éprouve la nécessité de repartir en Amérique du Sud, afin de renouer avec les planches», notait John Hopkins dans son journal en 1971. Ce retour sur «scène», il l'accomplira dès l'année suivante, et tout au long de 1973, en descendant du Mexique vers le sud du continent...


8,70

«Rien ne me paraît plus nécessaire aujourd’hui que de découvrir ou redécouvrir nos paysages et nos villages en prenant le temps de le faire. Savoir retrouver les saisons, les aubes et les crépuscules, l’amitié des animaux et même des insectes, le regard d’un inconnu qui vous reconnaît sur le seuil de son rêve. La marche seule permet cela. Cheminer, musarder, s’arrêter où l’on veut, écouter, attendre, observer. Alors, chaque jour est différent du précédent, comme l’est chaque visage, chaque chemin. Ce livre n’est pas un guide pédestre de la France, mais une invitation au vrai voyage, le journal d’un errant heureux, des Vosges jusqu’aux Corbières, au cœur d’un temps retrouvé. Car marcher, c’est aussi rencontrer d’autres personnes et réapprendre une autre façon de vivre. C’est découvrir notre histoire sur le grand portulan des chemins. Je ne souhaite rien d’autre, par ce livre, que de redonner le goût des herbes et des sentiers, le besoin de musarder dans l’imprévu, pour retrouver nos racines perdues dans le grand message des horizons.» Jacques Lacarrière.
«Ce livre n’est pas un guide pédestre de la France, mais une invitation au vrai voyage, le journal d’un errant heureux, des Vosges jusqu’aux Corbières, au cœur d’un temps retrouvé. Car marcher, c’est aussi rencontrer d’autres personnes et réapprendre une autre façon de vivre.» Jacques Lacarrière.