Un petit livre ludique, simple et efficace, pour rectifier ses postures tout au long de la journée, et des exercices pour se soulager.
Tout cela dans une bonne humeur communicative grâce aux dessins d'Emmanuelle Teyras.
Magali

Manhattan 1969. Werner Zilch, jeune homme ambitieux qui rêve de conquérir New-York, tombe amoureux fou d’une riche héritière, l’envoûtante Rebecca.
Parallèlement, on suit le parcours d’un enfant né dans les ruines de Dresde en 1945. Rapidement, on comprend que ce bébé et Werner ne font qu’un.
Un secret de famille qui resurgit des années plus tard, une tumultueuse histoire d’amour, l’Amérique conquérante des années 70, l’Allemagne troublée de la fin de la guerre : tous les ingrédients sont réunis pour une des histoires les plus romanesques de cette rentrée littéraire.
Ce roman est aussi séduisant que son héros. Comme lui, il est parfois irritant, mais on ne peut pas le quitter !

Le plus fort, le plus émouvant des romans de la rentrée !
Énorme coup de cœur !
Valérie

Rose possède un café "Le tablier à pois" perdu entre mer et lande ; elle est un peu le rayon de soleil qui illumine le village : "Elle est adorable, vive et pétillante".
Mais quand il pleut, le nuage cache le rayon de soleil qu'est Rose, et elle perd toute joie de vivre, se glisse sous la couette et "Le tablier à pois" reste désespérément fermé...
Et il y a Lucas : "c'est un gars d'ici, solide comme un roc et qui enlève toujours sa casquette quand il entre dans le café", lui c'est l'épicier qui vient vendre ses légumes tous les mercredis dans le café de Rose. Parviendra t-il à redonner le sourire à Rose par temps de pluie ? On se doute que ces deux-là sont faits pour se rencontrer... Un album qui vous mettra des étoiles dans les yeux, du baume au coeur et des papillons dans le ventre ! Un sans faute (du texte aux illustrations un brin désuètes), édité à la Pastèque, petite maison québécoise qui monte, qui monte...

Le street art est à la mode, tout le monde le sait, les ouvrages sur le sujet se multiplient, les plus grands graffeurs bénéficient désormais de renommées internationales. C'est bien MAIS, on oublie souvent dans les livres qui paraissent sur le tag qu'il s'agit avant tout d'un art DE LA RUE et qui donc côtoie un nombre infini d'individus aux destins les plus variés.
Et c'est là l'immense mérite de ce livre :faire à nouveau coïncider l'art et la sociologie en faisant le portrait intime des populations vivant au coeur du street art. Comment le voient-ils, quelles sont leurs aspirations à son égard,quels sentiments suscite-t-il ,quel type de quotidien partagent ils avec cet art?
Un livre de témoignages émouvant et nécessaire.