Prescripteurs de saines addictions

24 fois la vérité, Roman

Raphaël Meltz

Le Tripode

  • Conseillé par (Espace Pierre Lecut)
    5 novembre 2021

    COUPS DE COEUR

    Adrien, un jeune trentenaire, écrit des piges pour des magazines. Au décès de son aïeul centenaire il hérite de sa maison et surtout des kilomètres de pellicules qu’il a filmés. Il se décide enfin à entamer son premier roman qui évoquera la passion de son grand père pour le
    7ème Art.
    Gabriel et sa sœur sont nés au début du XXe et leur père est l’un des premiers à posséder un Pathé Kok, les enfants sont fascinés par ces images qui bougent et s’amusent à filmer des scènes de leur quotidien …
    Un drame en 1913 va bouleverser la famille, le garçonnet va alors se réfugier dans son hobby jusqu’à en faire son métier et deviendra chef opérateur chez Pathé.
    Grace à cette fonction il va être amener à couvrir tous les grands événements qui vont jalonner l’Histoire de ce siècle et être ainsi un témoin de son époque.
    Découpé en 24 chapitres comme les 24 images par seconde d’un film, ce roman est à la fois une véritable histoire de l’évolution du cinéma mais c’est aussi le récit émouvant de la vie d’un homme hanté par une tragédie à qui son petit fils à travers ce livre rend un vibrant hommage !!!


  • Conseillé par (Librairie Charlemagne Toulon)
    6 septembre 2021

    « La photographie, c’est la vérité. Le cinéma c’est 24 fois la vérité par seconde ».
    Raphael MELTZ : un auteur qui à coup sûr va marquer cette rentrée littéraire ! Ce roman est IMPRESIONNANT. Le style, l’intelligence, sa réflexion et sa fantaisie.
    Une belle histoire de cinéma, un regard rêveur et désenchanté sur le monde. C’est brillant !

    Guillaume, libraire Charlemagne TOULON


  • Conseillé par (Librairie Ravy)
    20 août 2021

    Adrien est journaliste free lance spécialisé dans les nouvelles technologies. Il est aussi romancier. Il vit dans la maison familiale dans laquelle son père et son grand-père ont vécu. Lassé de son travail auquel il trouve de moins en moins de sens, il se décide à raconter la vie de son grand-père Gabriel, vie qu’il considère bien plus intéressante que la sienne. Né en 1908, Gabriel a traversé le siècle à travers l’oeil de ses caméras. Passionné de cinéma dès son plus jeune âge il est devenu opérateur. C’est grâce aux archives de Gabriel qu’Adrien peut raconter le siècle passé, les innovations techniques mais aussi la vie d’un homme marqué dès son plus jeune âge par la perte de sa soeur Hélène. En parallèle de l’écriture de son roman, Adrien nous fait partager son quotidien, les conversations quasi philosophiques avec ses amis Antonio et Albert, ses interrogations sur sa vie, la vanité des nouvelles technologies et ses désirs profonds.
    Quel bonheur que ce roman de Raphaël Meltz! Quelle vie romanesque que celle de Gabriel, que l’on découvre par le regard de son petit-fils emprunt de tendresse et de reconnaissance. Quelle lucidité aussi et quel courage il faut aujourd’hui à un homme pour admettre qu’il fait fausse route et trouver son chemin. Un des plus beaux coups de coeur de cette rentrée.
    Valérie


  • Conseillé par
    5 septembre 2021

    Silence, on tourne !

    En clin d’œil aux 24 images secondes projetées sur les écrans de cinéma, R. Meltz fait défiler 24 chapitres retraçant une vie consacrée au cinéma.

    Adrien, petit-fils de Gabriel décédé centenaire, est journaliste et écrit son premier roman dédié à son grand-père et sa passion du cinéma.
    La rencontre de Gabriel avec la caméra est marquée par la disparition de sa sœur Hélène à l’âge de 11 ans. Devenu un opérateur méticuleux, il passera sa vie en mouvement telle l’image, filmant la vie et la mort à travers le monde, capturant presque un siècle d’histoire de son savoir-faire.
    Très documenté sur l’art du cinéma, les technologies anciennes et récentes, jonché d’anecdotes sur l’actualité des prises de Gabriel, le récit est instructif mais aussi touchant de nostalgie. L’échappée belle d’Adrien vers l’écriture l’éloigne de la féérie du numérique

    « La photographie, c’est la vérité, le cinéma c’est 24 fois la vérité par seconde »