Prescripteurs de saines addictions

L'énigme de la chambre 622

Joël Dicker

Editions de Fallois

  • Conseillé par (Espace Pierre Lecut)
    24 août 2020

    coups de coeur de SOPHIE

    L’Ecrivain après la mort de son éditeur décide de prendre quelques
    jours de repos dans un Palace situé au milieu des Alpes suisses .
    Or la chambre 622 a mystérieusement disparu …
    Quelques années plus tôt l’hôtel est le lieu où se réunit les dirigeants
    de la célèbre banque Ebezner pour enfin nommer son nouveau président, or quelqu’un est retrouvé mort dans une des chambres de l’établissement et le coupable n’a jamais été retrouvé …
    Après plusieurs romans dont « la vérité selon Harry Québert » l’auteur
    nous propose à nouveau un livre passionnant et addictif qui nous plonge
    dans les arcanes d’un grand Palace et le monde plus qu’opaque d’une banque .
    Si l’intrigue est extrêmement bien menée et efficace ce livre nous dévoile aussi la vie et le travail d’un écrivain et de ses relations avec son
    éditeur ...


  • Conseillé par (Librairie Charlemagne Toulon)
    30 avril 2020

    Un homme est retrouvé assassiné dans la chambre 622 du Palace de Verbier dans les Alpes suisses. L'enquête de police n'aboutira jamais, et pour cause !
    Quelques années plus tard, un écrivain qui n'est autre que l'auteur lui-même, Joël Dicker, arrive en vacances dans ce Palace. Sa voisine de palier va le convaincre de résoudre cette mystérieuse affaire criminelle. Ils vont en effet tout mettre en œuvre pour nous plonger dans le milieu confiné des banques suisses, pour dénouer les complots de famille, et déjouer ainsi les plans de ou des assassins!?!...Excellent roman à suspens du début jusqu'à la fin, réunissant toutes les garanties d'une lecture captivante !

    Encore un peu de patience donc pour le découvrir …. Et, vous pourrez bientôt le pré-commandersur notre site !


  • Conseillé par (Librairie Espace-Temps)
    29 avril 2020

    Une précision et un suspense diaboliques !

    Tout part du crime exécuté dans la chambre 622 d'un palace de Verbier, en Suisse, il y a vingt ans. De nos jours, un écrivain venu s'y ressourcer est entraîné par sa voisine de chambre, Scarlett, à enquêter sur ce crime jamais résolu, ce qui ferait un bon sujet de roman pour lui. Avec son habileté habituelle, l'auteur nous subjugue par une affaire aux mille rebondissements. Ajoutons un émouvant hommage à son éditeur décédé récemment, Bernard De Fallois, qui donne le regret de ne pas l'avoir rencontré. Après cette période de confinement, prenez un plaisir fou à lire ce livre , c'est la première qualité que l'on recherche.


  • Conseillé par
    7 juin 2020

    Un roman-hommage.

    Impossible pour moi de passer à côté d’un nouveau titre de Joël Dicker sans m’en emparer aussitôt pour le lire en un temps record.
    Dès que j’ai su que L’Énigme de la Chambre 622, son tout nouveau roman, allait paraître, je l’ai donc donc impatiemment attendu, et l’ai lu dès son arrivée.

    Alors qu’en dire ?
    Déjà, qu’il est très différent de ses précédents livres, et ce à plus d’un titre.

    La mise en abime propre à un roman qui parle d’un auteur écrivant un roman, on connaît bien ce principe maintenant, et s’il fonctionne toujours aussi bien, force est de constater que ce n’est pas le point fort ici.

    Le fait que l’auteur se soit mis lui-même « en scène », puisque son personnage n’est autre que...lui-même, peut, au premier abord, faire penser à une preuve d’égo assez démesuré.

    Pourtant je ne pense sincèrement pas que ce soit la raison de son choix.

    Au-delà même de l’intrigue, ce roman est surtout un hommage de Joël Dicker à son éditeur, Bernard de Fallois, décédé il y a maintenant deux ans, et dont il parle d’ailleurs longuement dans ce nouveau polar.

    Si l’on me demandait de résumer ce roman en un seul mot, je choisirais celui de « transmission ».

    Celle de la famille, celle du cœur, celle du nom, celle des biens, celle des valeurs, et celle de l’Histoire bien entendu.

    La transmission est partout dans ces pages, au sein de l’intrigue du meurtre, de l’histoire de l’auteur qui mène l’enquête, et bien évidemment dans le lien qui unit Dicker à son éditeur. La transmission est probablement le cœur même du livre.

    Et ça rend ce titre terriblement émouvant.

    Pour tout le côté polar, par contre, nombre de fans de l’auteur ne retrouveront clairement pas sa patte habituelle ici.

    Le choix du style employé crée un décalage peu courant, qui m’a souvent fait penser à un pièce de Feydeau pendant ma lecture. Le côté caricatural des personnages prend très rapidement le pas sur l’intrigue, qui, même si elle reste intéressante, n’a guère de profondeur.

    C’est donc un roman à lire pour l’hommage magnifique qu’il représente, et pour la bonne humeur qu’il dégage, mais où les lecteurs ne retrouveront pas le suspens et le style même de l’intrigue qui faisaient la force du fameux Harry Quebert.