Prescripteurs de saines addictions

Girl

Edna O'Brien

Sabine Wespieser Éditeur

  • Conseillé par (Librairie Dialogues)
    19 avril 2020

    Mais pourquoi...

    Nigeria. Avril 2014. Le rapt par Boko Haram de centaines de jeunes filles. Edna O'Brien nous plonge dans la vie intérieure de Maryam, l'une d'elles. Quelle puissance... J'en ai l'estomac retourné, les larmes ont coulé. Je ne sais qu'écrire de plus. Alors oui, c'est un roman (mais si loin d'une fiction) dur, mais qui nous pousse à espérer, à croire en cette lumière qui sauvera.


  • Conseillé par (Librairie Espace-Temps)
    30 novembre 2019

    SURVIVRE AU NIGERIA AVEC BOKO HARAM

    Le roman d'un fait récent dramatique, à savoir le rapt au Nigéria par le mouvement « Boko Haram » de collégiennes emmenées en pleine forêt vierge. L'auteur se met à la place d'une de ces collégiennes, violée et qui a un enfant de ces ravisseurs ; elle arrive à se sauver et retourne dans son village mais l'accueil est froid car elle est considérée comme une femme du bush. Une destinée très bouleversante et racontée divinement !


  • Conseillé par (Librairie Ravy)
    28 septembre 2019

    Maryam fait partie de ces lycéennes enlevées par Boko Haram en 2014. Elle nous raconte son histoire, à sa façon, avec ses mots l’enlèvement, l’arrivée dans un camp, le travail, le mariage forcé, Baby sa petite fille et aussi son retour terriblement violent chez sa mère. Edna O’Brien se glisse dans la peau d’une adolescente martyrisée, bannie et nous donne à lire un roman éprouvant mais absolument nécessaire.
    Valérie


  • Conseillé par
    6 janvier 2020

    A travers l’histoire imaginée de Maryam, c’est le sort de cette centaine de lycéennes nigérianes qui, en 2014, ont été enlevé par Boko Haram pour servir d’esclaves sexuelles aux djihadistes.
    Je sors de cette histoire bouleversée, écœurée et en même temps mitigée.
    Si le fait était connu, là, on est en pleine immersion dans l’horreur de la réalité.
    C’est dur, très dur à lire.
    Imaginer que ça remonte à 5 ou 6 ans à peine.
    Non qu’il faille ignorer les atrocités du monde, je ne sais pas s’il est bien nécessaire de s’y replonger dans un roman.
    Pour l’écrire, Edna O’Brien a fait un très sérieux travail de recherche, s’est rendue sur place, a rencontré des jeunes filles rescapées.
    Cependant quelque chose m’a dérangée dans son écriture.
    Détachée, pas toujours claire, comme distante.
    Particulièrement dans la première partie concernant le camp de djihadistes.
    Beaucoup de flou aussi quand Maryam s’évade et traverse la forêt.
    C’est un livre difficile, que je ne relirai pas, et que je ne conseillerai pas à tout le monde, et certainement pas aux personnes trop sensibles.